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Tous les numéros de la collection La compagnie de Lazare sont consultables gratuitement en ligne ou téléchargeables gratuitement pour une consultation offline. Il suffit simplement de renseigner votre e-mail dans notre base de données. Il sera gardé strictement confidentiel et ne sera jamais vendu, loué, ni même prêté. Il nous servira uniquement à entrer en contact avec vous pour vous prévenir de la parution d'un nouveau numéro. À tout moment, ou en cas de changement d'adresse, vous pouvez naturellement vous désabonner. Votre demande sera traitée en priorité et manuellement sur le lien suivant desinscription@lacompagniedelazare.com.
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F A Q

Tout ce que vous avez jamais voulu savoir
sur "La compagnie de Lazare"
sans jamais oser le demander.

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Christophe Labarde : « C’est une revue qui n’a pas de prix ! »


La compagnie de Lazare est une bien étrange publication. Photo ? Littérature ? Musique ?

Un peu tout cela… et bien d’autres choses ! C’est avant tout une revue de « coups de coeur », sans genre particulier, sans aucun a priori. Avec comme seule préoccupation la curiosité, la qualité, l’exigence, que ce soit en matière de textes, de photos ou d’illustrations. Et, bien entendu, une furieuse envie de partager tout cela…

Pourquoi ce titre étrange lui aussi ?

C’est d’abord un clin d’oeil et un hommage à mon grand-père maternel, qui s’appelait Lazare. Il était militaire. Il a servi dans l’armée française pendant les deux guerres mondiales. J’ai retrouvé de nombreuses photos où on le voit avec ses frères d’armes, ses camarades de « compagnie », au sens militaire du terme.

Lazare Capdevielle était un homme formidable, aimé de tous. Un « honnête homme » au meilleur sens du terme. Hélas, je ne l’ai pas connu. Il est mort trois ans avant ma naissance. Ceux qui l’ont connu, en revanche, me disent la même chose : «
 Avec lui, on était toujours en bonne compagnie ». J’adore cette notion un peu abstraite de bonne « compagnie »…

Et puis un dernier clin d’oeil : Lazare est mon second prénom. Je suis donc à chaque instant, moi aussi, en compagnie discrète mais réelle de ce grand-père que je n’ai pas connu mais avec lequel je continue de cheminer.
La compagnie de Lazare n’est rien d’autre que ce rassemblement amical, informel, de tous ces lecteurs qui cheminent dans mon sillage, comme je chemine moi-même dans celui de mon grand-père, de toute ma famille, de tous mes amis. Une manière à la fois de « boucler la boucle » tout en l’élargissant.

Très symboliquement, le premier numéro de la revue commence par une lettre de Lazare. il l’avait écrite à l’attention de ma mère pour le jour de ses 20 ans. Bien sûr c’était mon grand-père. Bien sûr c’était ma mère. Mais c’est surtout une lettre universelle, la lettre d’un père à sa fille, bouleversante de simplicité et de profondeur. Elle parle de travail, d’amour, de valeurs, de responsabilité, de liberté, de transmission. C’est en la découvrant un jour, bien après la mort de ma mère, que j’ai eu l’idée de cette revue. Mon grand-père en est donc le vrai inspirateur. Il était normal qu'elle porte aussi son nom.



C’est donc une revue presque intime… Une sorte de « jardin secret » ?

Je ne dirais pas « intime », mais plutôt « extime », c’est-à-dire tout ce qui est de l’ordre de l’intime, mais que l’on peut partager, que l’on gagne à partager parce que chacun peut s’y retrouver.

Toutes proportions gardées, et pour parodier Montaigne, c’est évidemment « 
moi que je peins » mais simplement pour rappeler que « chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition. » Ce qui était vrai pour Montaigne, l’est aussi pour mon grand-père, pour moi, pour mes amis, pour les amis de mes amis, pour tous les lecteurs.

Parce qu’elle est profondément personnelle, cette revue est profondément universelle. En ce sens, c’est moins un « jardin secret » qu’un « jardin public ».
Lire la suite…
Pourquoi une boussole comme logo ?

Ce n’est pas une boussole comme les autres : elle n’indique pas le Nord mais… le Sud-Ouest ! En quittant un jour mon Béarn natal, je me souviens d’avoir écrit : « Là où beaucoup se battent pour ne pas perdre le Nord, je me battrai pour ne pas perdre le Sud. »

C’est aussi l’esprit de ce logo, qui nous propose une autre vision des choses et, je l’espère, un autre angle sur la vie. Une sorte d’aimantation un peu particulière.


Vous ne traitez pas d’actualité…

… et c’est un choix ! J’ai été pendant des années un professionnel de l’actualité. J’ai même été drogué à l’actualité. Ce n’est plus ce qui m’intéresse aujourd’hui. Je ne me lasse pas du calme, du temps qui passe, de l’essentiel. De la vague sous l’écume. Et même de l’océan sous les vagues. Du temps que nous avons laissé couler le temps sans nous y arrêter, et sur lequel il est bon, parfois, de revenir.

Nostalgique ?

Si vous voulez. Même si ce n’est pas le premier mot qui me viendrait à l’esprit. J’ai la nostalgie très heureuse !

Le premier numéro est daté « 53 hiver ». Pourquoi ce choix ?

Il se trouve qu’en ce début d’année 2015, au moment où nous nous parlons, j’ai 53 ans. J’aurai bientôt « 53 printemps » comme on le dit couramment. Pour l’instant, je n’ai encore que « 53 hivers » !

Par ailleurs, vous constaterez que les numéros de page ne redémarrent pas de zéro au début de chaque numéro. Ils s’enchaînent. L’aventure démarre donc à la page 1 pour s’arrêter à la page… (
rires) J’espère qu’elle ne s’arrêtera jamais ! Et que l’on reprendra le flambeau après moi, pour continuer à faire vivre la revue avec les amis de mes amis de mes amis…

En attendant, vous comptez publier un nouveau numéro à chaque saison ?

Idéalement oui. J’ai fait un choix radical dans la vie : celui de ne jamais me laisser contraindre ou, pour être rigoureusement exact, de bien choisir mes contraintes afin de mieux les maîtriser. La revue paraîtra donc… lorsqu’elle sera prête ! Pas question de sacrifier la qualité à une quelconque exigence de calendrier. Non ! Là encore, j'ai fait le choix de ne pas faire comme les autres. Certaines images seront vendues en galerie, en tirage limité, et certains textes seront publiés dans une maison d'édition, Les Éditions de Lazare, qui sera créée très bientôt je l'espère. La revue, elle, ne sera jamais imprimée. C'est mon choix… et je le respecte !

Pourquoi vous confier son e-mail ?

Votre adresse mail nous servira simplement pour prévenir de la parution du nouveau numéro. Et éventuellement à vous inviter à son lancement. Elle est le contact minimal que j’ai souhaité établir avec mes lecteurs : pouvoir se joindre, pouvoir échanger.

J’ai fait le choix de ne surtout pas entrer dans le cadre d’une revue « marchande », ce n’est pas pour établir ce genre de relations avec mes lecteurs en utilisant leurs mails pour des raisons commerciales !

L’engagement est simple : vous nous confiez votre e-mail et je m’engage à ce qu’il ne soit ni vendu, ni loué, ni même prêté.

Vous rédigez énormément d’articles vous-même…

Oui, et je fournis également pas mal de photos, d’illustrations (rires) Heureusement, je ne suis pas totalement seul. Vous verrez qu’il y a aussi beaucoup d’autres contributeurs, connus ou moins connus, qui me font le bonheur de m’accompagner. Nous sommes déjà une petite bande. Et si tout se passe comme prévu, nous serons de plus en plus nombreux.

Si un lecteur anonyme souhaite vous soumettre un article, une photo ?

Je serai ravi d’y réfléchir avec lui ! Il suffit de me contacter à l’adresse cl@lacompagniedelazare.com Mais les choses sont claires : en fin de compte, c’est moi qui me réserve la décision de publier ou non. C’est la règle du jeu. Je me l’applique à moi-même. Et je me surprends très souvent à ne pas publier mes propres productions… (rires)

De quel groupe industriel, financier ou de communication dépendez-vous ?

Aucun. Pour ses premiers pas, la revue est entièrement supportée par ma petite société, Les Ateliers Labarde, dont je suis seul actionnaire… et seul salarié. Encore une fois, j’ai fait le choix de l’indépendance. C’est un choix de vie. Il n’est pas négociable.

Vous dépendez quand même de la publicité…

Non. Il n’y a aucune publicité dans la revue. Là aussi c’est un choix essentiel, éthique. De même, vous ne verrez aucun lien internet, aucun numéro de téléphone… Nous avons souhaité nous « dépolluer » de tous les liens commerciaux et financiers qui nous relient habituellement au monde. J’ai donc fait le choix de créer des PUB’imaginaires qui ne sont pas du tout des publicités. C’est même tout le contraire : une sorte de publicité inversée, choisie, désirée même. C’est moi qui décide des partenaires que j’ai envie d’inviter dans la revue. Moi encore qui crée leur message. Ce qui garantit à la fois une unité de fond (ce sont des messages souhaités et non subis) et de forme (le parti pris graphique des messages ne vient pas dénaturer le reste de la revue.) Certaines de ces PUB’imaginaires ont donné lieu à des soutiens financiers, d’autres sont totalement gratuites et sans aucune forme de contrepartie. A vous de deviner lesquelles !

Quel est votre modèle économique ? Quels sont vos financements ?

Un modèle économique, pour simplifier, ce seront des recettes et des dépenses.

Sous forme de boutade, je vos répondrai que la première de mes recettes est… d’avoir très peu de dépenses. La revue fonctionne avant tout sur une base de bénévolat, à commencer par le mien. Personne n’est rémunéré, que ce soit pour les textes, les photos ou les illustrations. Ne parlons pas du temps passé… J’investis seulement dans la maquette, la relecture et le site internet qui se doivent d’être irréprochables. Pour le reste, nous comptons sur trois sources de revenus principales.

• quelques soutiens institutionnels au travers de certaines de nos
PUB’imaginaires,
• le mécénat de quelques partenaires publics ou privés, qui se reconnaissent dans nos valeurs et notre projet, et qui ont choisi de nous encourager sous la forme d’une aide financière directe,
• la vente en galerie de tirages originaux et en série limitée de certaines pages de la revue, que nous organiserons à l’occasion de la sortie de certains numéros.

C’est un modèle novateur mais qui reste un modèle de « niche ». Il ne peut probablement fonctionner qu’à petite échelle.

En fin de compte, vous savez, je suis doublement réaliste : je rêve et j’ai les pieds sur terre. On ne fait pas une telle revue pour gagner de l’argent. On ne la fait non plus pour en perdre.

J’ai bien regardé : il n’y a aucune indication de prix sur la couverture…
… et il n’y en a nulle part ailleurs ! J’ai mis un point d’honneur à ne jamais parler d’argent. Nulle part. La compagnie de Lazare est une revue qui a un coût… mais qui n’a pas de prix ! Au sens propre et au sens figuré.

propos recueillis par Clémence Doussinot
(Paris, le 2 janvier 2015)

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Ils nous lisent, ils nous aiment, ils nous soutiennent.
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Ecrivain
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(Paris, France)
Economiste
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Claire Léost

(Paris, France)
Editrice, Lagardère Active
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((Bordeaux, France)
Architecte
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(Paris, France)
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Photographe
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(New York, USA)
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