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    Retrouvez ici tous les numéros précédents.


    [ 53 Hiver ]

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    [ 54 Été ]

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    [ 58 Été ]

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    Tous les numéros de la collection La compagnie de Lazare sont consultables gratuitement en ligne ou téléchargeables gratuitement pour une consultation offline. Il suffit simplement de renseigner votre e-mail dans notre base de données. Il sera gardé strictement confidentiel et ne sera jamais vendu, loué, ni même prêté. Il nous servira uniquement à entrer en contact avec vous pour vous prévenir de la parution d'un nouveau numéro. À tout moment, ou en cas de changement d'adresse, vous pouvez naturellement vous désabonner. Votre demande sera traitée en priorité et manuellement sur le lien suivant desinscription@lacompagniedelazare.com.
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    F A Q

    Tout ce que vous avez jamais voulu savoir
    sur "La compagnie de Lazare"
    sans jamais oser le demander.

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    Christophe Labarde : « C’est une revue qui n’a pas de prix ! »


    La compagnie de Lazare est une bien étrange publication. Photo ? Littérature ? Musique ?

    Un peu tout cela... et bien d'autres choses ! C'est avant tout une revue de coups de coeur sans genre particulier, sans aucun a priori. Avec comme seule préoccupation la curiosité, la qualité, l'exigence, que ce soit en matière de textes, de photos ou d'illustrations. Et, bien entendu, une furieuse envie de partager tout cela...

    Pourquoi ce titre étrange lui aussi ?

    Pas si étrange quand on connaît son histoire. C’est d’abord un clin d’œil et un hommage à mon grand-père maternel, qui s’appelait Lazare. Il était militaire. Il a servi dans l’armée française pendant les deux guerres mondiales avec ses camarades de « compagnie », au sens militaire du terme.

    Lazare Capdevielle (c’était son nom) était un homme formidable, aimé de tous. Un honnête homme au meilleur sens du terme. Hélas, il est mort trois ans avant ma naissance et je ne l’ai donc pas connu. Ceux qui l’ont connu, en revanche, m’ont tous dit la même chose : « Avec Lazare, on était toujours en bonne compagnie. » J’adore cette notion un peu abstraite de bonne « compagnie »…

    Il y a aussi un dernier clin d’œil : Lazare est mon second prénom. Je suis donc à chaque instant, moi aussi, en compagnie discrète mais réelle de ce grand-père que je n’ai pas connu mais avec lequel je continue de cheminer. Et La compagnie de Lazare n’est rien d’autre que ce rassemblement amical, informel, de tous ces lecteurs qui cheminent dans mon sillage, comme je chemine moi-même dans celui de mon grand-père. Une manière, si vous voulez, de « boucler la boucle » tout en l’élargissant.

    Très symboliquement, le premier numéro de la revue commence par une lettre de Lazare. Il l’avait écrite pour ma mère le jour de ses 20 ans. Bien sûr c’était mon grand-père. Bien sûr c’était ma mère. Mais c’est surtout une lettre universelle : la lettre d’un père à sa fille, bouleversante de simplicité et de profondeur. Elle parle de travail, d’amour, de valeurs, de responsabilité, de liberté, de transmission. C’est en la découvrant un jour, bien après la mort de ma mère, que j’ai eu l’idée de cette revue. Mon grand-père en est donc le vrai inspirateur. Il était normal qu'elle porte aussi son nom.



    C’est donc une revue presque intime… Une sorte de « jardin secret » ?

    Je ne dirais pas « intime », mais plutôt « extime », c’est-à-dire tout ce qui est de l’ordre de l’intime, mais que l’on peut partager, que l’on gagne à partager.

    Toutes proportions gardées, et pour parodier Montaigne, c’est évidemment « moi que je peins » mais je ne le fais que pour rappeler que « chaque homme porte en soi la forme entière de l’humaine condition. » Ce qui était vrai pour Montaigne, l’est aussi pour mon grand-père, pour moi, pour mes amis, pour les amis de mes amis, pour tous les lecteurs.

    Cette revue est profondément personnelle mais elle est surtout, je crois, profondément universelle. En ce sens, elle est moins un « jardin secret » qu’un « jardin public ».
    Pourquoi une boussole comme logo ?

    C’est vrai que ce n’est pas une boussole comme les autres : elle n’indique pas le Nord mais… le Sud-Ouest ! En quittant un jour mon Béarn natal, je me souviens d’avoir écrit : « Là où beaucoup se battent pour ne pas perdre le Nord, je me battrai pour ne pas perdre le Sud. »

    Cette boussole atypique nous propose une autre vision des choses et, je l’espère, un autre angle sur la vie. Une sorte d’aimantation un peu particulière.


    Vous ne traitez pas d’actualité…

    … et c’est un choix ! J’ai été pendant de très longues années un professionnel de l’actualité. Je m’en suis peu à peu éloigné. Aujourd’hui, je privilégie le calme, le temps qui passe, l’essentiel. La vague sous l’écume, et même l’océan sous les vagues… Et l’essentiel, pour moi, c’est aussi le temps que nous avons laissé couler sans nous y arrêter, et sur lequel il est bon, parfois, de revenir.

    Nostalgique ?

    Si vous voulez. Même si ce n’est pas le premier mot qui me viendrait à l’esprit. Car j’ai la nostalgie très heureuse ! !

    Le premier numéro est daté « 53 hiver ». Pourquoi ce choix ?

    Il se trouve qu’au moment de la publication de ce premier numéro, en 2015, j’avais 53 ans et nous étions en hiver ! Simple, non ? (rires) C’est exactement le même principe de numérotation pour les numéros suivants.

    Dans le même esprit, vous avez peut-être aussi remarqué que les numéros de pages ne redémarrent pas de zéro au début de chaque numéro. Ils s’enchaînent d’un numéro sur l’autre. L’aventure démarre donc à la page 1 pour s’arrêter à la page… (silence) Lorsque je ne serai plus là, j’espère que l’on reprendra le flambeau pour continuer à faire vivre l’aventure.

    Vous comptiez publier un ou deux numéros par an, vous n’y êtes pas encore…

    Ce n’est pas bien grave. J’ai fait un choix radical dans la vie : celui de ne jamais me laisser contraindre ou, pour être rigoureusement exact, de bien choisir mes contraintes afin de mieux les maîtriser. La revue paraît donc… lorsqu’elle est prête ! Pas question de sacrifier la qualité à une quelconque exigence de calendrier.

    Pourquoi récolter les mails de vos lecteurs ?

    J’ai fait le choix, radical, de ne surtout pas entrer dans le cadre d’une revue « marchande », de ne jamais utiliser ces e-mails pour des raisons commerciales !

    Bref, si vous nous confiez votre e-mail, je m’engage à ce qu’il ne soit ni vendu, ni loué, ni même prêté.

    Votre adresse mail nous servira simplement pour prévenir de la parution du prochain numéro. C’est le contact minimal que j’ai souhaité établir avec mes lecteurs : pouvoir se joindre, pouvoir échanger.

    Vous rédigez énormément d’articles vous-même…

    Oui, et je fournis également pas mal de photos, d’illustrations ...

    Il y a heureusement quelques autres contributeurs, connus ou moins connus, qui me font le bonheur de m’accompagner régulièrement ou ponctuellement.

    Nous sommes déjà une petite bande de compagnons, au sens ancien du terme : « Compagnons de Lazare » bien sûr !

    Et si un lecteur anonyme souhaite vous soumettre un article, une photo ?

    Je serai ravi d’y réfléchir avec lui ! Il suffit de me contacter à l’adresse cl@lacompagniedelazare.com Mais en fin de compte, c’est moi qui me réserve la décision de publier ou non. C’est la règle du jeu. Je me l’applique à moi-même. Et figurez-vous que je me surprends très souvent à ne pas publier mes propres productions… (rires)

    Dépendez-vous de la publicité ? Des placements de produits ?

    Il n’y a aucune publicité dans la revue. Là aussi c’est un choix essentiel, éthique. De même, vous ne verrez aucun lien internet, aucun numéro de téléphone…

    Nous avons souhaité nous « dépolluer » de tous les liens commerciaux et financiers qui nous relient habituellement au monde.

    J’ai donc fait le choix de créer ce que j’appelle des PUB’imaginaires qui ne sont, en réalité, pas du tout des publicités. C’est même tout le contraire. Ce seraient plutôt des sortes de publicités inversées, choisies, désirées même.

    Ici encore, c’est moi qui décide des partenaires que j’ai envie d’inviter dans la revue. Moi encore qui crée leur message sans même leur demander leur avis. Ce qui garantit à la fois une unité de fond (ce sont des messages souhaités et non subis) et de forme (le parti pris graphique des messages ne vient donc pas dénaturer le reste de la revue). Certaines de ces PUB’imaginaires ont donné lieu à des soutiens financiers (plus symboliques qu’autre chose je vous rassure…), mais après coup, d’autres sont totalement gratuites et sans aucune forme de contrepartie.

    Si vous refusez la publicité, quel est votre modèle économique ? Comment vous financez-vous ?

    C’est très simple, la revue est entièrement supportée par ma petite société, Les Ateliers Labarde, dont je suis seul actionnaire. Et donc par moi-même.

    Encore une fois, j’ai fait le choix de l’indépendance. C’est un choix de vie. Il n’est pas négociable.

    Marginalement, certaines images seront vendues en galerie, en tirage limité, et certains textes seront publiés dans une maison d'édition, Les Éditions de Lazare, qui sera créée dans un deuxième temps.

    Quant à la revue, elle, ne sera jamais imprimée. C'est mon choix… et je le respecte ! (rires) Ce qui a aussi l’avantage d’éviter bon nombre de coûts d’impression, de distribution, de stockage.

    Sous forme de boutade, je vous répondrai que la première de mes recettes est… d’avoir très peu de dépenses !

    La revue fonctionne avant tout sur une base de bénévolat, à commencer par le mien. Personne n’est rémunéré, que ce soit pour les textes, les photos ou les illustrations. Ne parlons pas du temps passé… J’investis seulement un peu dans la maquette, la relecture et la gestion du site internet, qui se doivent d’être irréprochables.

    J’ai bien conscience que c’est un modèle peu habituel, novateur même, mais qui reste un modèle de « niche ». Il ne peut probablement fonctionner qu’à petite échelle.


    J’ai bien regardé : il n’y a aucune indication de prix sur la couverture…

    … et il n’y en a nulle part ailleurs ! J’ai mis un point d’honneur à ne jamais parler d’argent. Nulle part. La compagnie de Lazare est une revue qui a un coût… mais qui n’a pas de prix ! Au sens propre et au sens figuré.

    propos recueillis par Clémence Doussinot
    (Paris, le 2 janvier 2015)

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